Présidentiellement vôtre

« Avant l’heure, ce n’est pas l’heure, après l’heure, c’est trop tard ! »

Dimanche, sur le coup de 3 heures du matin, notre réveil fera un pas en arrière :
en application d’une directive européenne, notre horloge biologique battra la chamade
causant aux basketteurs du dimanche matin inquiétude, désarroi et autre franche rigolade
quand on s’apercevra être seul sur le terrain, injuste sanction d’une distraction légendaire.

Voilà plus d’une dizaine d’années que le dernier week-end d’octobre est synonyme d’une effervescence particulière. Le passage à l’heure d’hiver, sensé contribuer à l’économie de l’une ou l’autre énergie, verra bon nombre de distraits, arriver sur le terrain alors que celui-ci n’est pas encore préparé.

Le temps de reprendre ses esprits, la contrariété cédera le pas à l’attente. L’attente des coéquipiers, des adversaires, des arbitres sans qui le week-end perdra toute sa saveur.

Réjouissons-nous de ces moments privilégiés, organisés de maîtresse façon par les membres bénévoles des organes provinciaux, régionaux et nationaux dont la tâche obscure se doit d’être rappelée !

Si l’heure n’est certes pas au bilan, il n’est jamais trop tard, par un petit mail, déjà les remercier.

A vendredi !

Jean-Pierre Delchef